A la différence du parquet massif, qui est fait d’une seule essence de bois, le parquet contrecollé est un parquet constitué de 3 couches de bois différentes :
La couche d’usure, également appelée « parement ». C’est la partie supérieure du parquet contrecollé, celle sur lequel se pose le regard (et le pied !) et donc celle qui garantit l’esthétique du parquet : elle est donc toujours réalisée dans un bois noble. C’est d’ailleurs pour ça qu’à l’oeil, un parquet contrecollé peut tout à fait ressembler à un parquet massif !
Le support, autrement appelé « l’âme du parquet » est composé de plusieurs sous-couches en dérivés de bois. Son rôle est de garantir la stabilité du parquet contrecollé.
Enfin, le contre-parement stabilise l’ensemble avec des lamelles de bois ou de contreplaqué.
Aujourd’hui, les parquets contrecollés existent à la vente dans diverses essences de bois (noyer, wengé, érable, chêne…) ; les lames peuvent être de différentes longueurs et largeurs, chanfreinées ou jointives. Les finitions d’un parquet contrecollé sont généralement assurées par les fabricants, que le parquet soit vernis, huilé, blanchi ou teinté.
Le contrecollé peut aussi être posé en parquet flottant..